Ah voilà enfin le roi d'la classe ! L'homme trop bien sapé ! Abitbol ! -- "José" (La classe américaine) % Alors comme ça, t'as été élu l'homme le plus classe du monde. Laisse-moi rire, style le grand playboy des fonds marins, genre qui fait rêver les ménagères. -- "José" (La classe américaine) % Sauf que moi j'les baise les ménagères. Non ? C'est pas vrai ? -- "José" (La classe américaine) % Écoute-moi bien mon petit José, tu baises les ménagères : bien, tu dois avoir le cul qui brille ! Mais c'est pas ça qu'on appelle la classe. -- "George" (La classe américaine) % Tu fais un amalgame entre la coquetterie et la classe... Tu es fou ! Tu dépenses tout ton argent dans les habits et accessoires de mode. Mais tu es ridicule ! Enfin, si ça te plaît ! C'est toi qui les portes. Mais moi, si tu veux mon opinion, ça fait un peu... has-been ! -- "George" (La classe américaine) % Ah la vache ! Moi, j'ai l'air has-been ?! J'en ai pour plus d'une barre de fringues sur moi ! Alors va te faire mettre ! -- "José" (La classe américaine) % Tu n'es vraiment pas très sympa ! Mais le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence. Je préfère partir plutôt que d'entendre ça, plutôt que d'être sourd... -- "George" (La classe américaine) % Tiens, regarde, les Anglais ont débarqué. On va être obligé de passer par derrière. Tu sais, par ce tunnel tout sombre qui sent pas très bon... -- "George" (La classe américaine) % Ah, monde de merde... -- "George" (La classe américaine) % Le patron : Ah Dave (...). On prépare un dossier sur Georges Abitbol. Tu vas te mettre sur le coup mais tu seras pas tout seul. Tu seras avec Peter et Steven. Dave : Peter et Steven... j'les aime bien. Mais pourquoi j'peux pas travailler seul ? Patron : Parce que t'es trop mauvais. Dave : Ah, ben là patron, vous m'avez convaincu, c'est une bonne raison. Je vais travailler avec Peter et Steven. -- La classe américaine % Patron : "Monde de merde" (...) C'est sûrement un nom, si c'est une femme, je veux savoir quelle femme. Si c'est un cheval, je veux savoir dans quelle course ! Peter : Nous, on pensait que ça pouvait être un traîneau. -- La classe américaine % Je me permets d'interrompre ce flim parce qu'on se fout un peu de ma gueule. C'est du vol et du plagiat... J'aime pas trop les voleurs et les fils de pute ! -- Orson Welles (La classe américaine) % Mais au fait j'y pense, Callaghan il devrait pouvoir vous aider. Depuis le temps qu'il est là payé à rien foutre, autant qu'il serve à quelque chose... ce gros porc ! -- Le patron du journal (La classe américaine) % Comprenez-moi mes amis, c'est mon fils, ma bataille, c'est le fruit de mes entrailles, quoi ! J'avais un nom et une adresse, ben je lui ai donnés ! -- "Callaghan" (La classe américaine) % Vous dites que j'aille me faire foutre ? OK, j'y vais ! -- Le flic (La classe américaine) % Y avait rien de sexuel entre nous ! Je vous dis ça parce que je me suis souvent fait traiter de pédale, de salope, et c'est facile de traiter les gens de pédés tout ça parce que deux garçons vivent ensemble dans un ranch et portent des pantalons en cuir ! -- "Hugues" (La classe américaine) % Hé les pédés, y a une lettre pour vous ! ...Tenez ! bonne bourre ! -- Le facteur, à Hugues et Jacques (La classe américaine) % Je rêve d'un bon bain dans une bôonne aubeerge... Ah j'te jure... j'ai les pastèques ! -- "Jacques" (La classe américaine) % Mais qu'est-ce qui te prend à dire "yep", comme ça ? -- "Hugues" (La classe américaine) % Ah, c'est pas banal ça. -- "Hugues" (La classe américaine) % Tu sais très bien que Madame Félipé, la patronne, se coupe des morceaux de nichons pour en faire des ravioles. -- "George" (La classe américaine) % Tu sais, tes excuses, tu peux te les coller au cul, tout comme ton beefsteak, sauf que le beefsteak, ça sert à rien, le patron l'a déjà fait, il a craché dessus. -- "George" (La classe américaine) % J'ai connu un mec de droite une fois, il avait dix fois plus de classe ! -- "Hugues" (La classe américaine) % Ah, encore une chose, j'vous conseille d'éviter la mousse au chocolat du patron. -- "George" (La classe américaine) % Je me suis réveillé amnésique et j'arrivais plus à me souvenir de rien ! -- "Hugues" (La classe américaine) % Tu peux rester... Pas de problème ! J'suis même content que tu sois venu chez nous ! J'aimerais bien que tu restes. On va manger... des chips ! T'entends ? Des chips ! C'est tout ce que ça t'fait quand j'te dis qu'on va manger des chips ? -- L'Indien (La classe américaine) % George est un fasciste de merde ! un fasciste de merde !!! -- L'Indien (La classe américaine) % Dave : Oh, et qu'est-ce qu'il lui est arrivé à ce chef indien ? Hugues : Après, il a fait justicier dans la ville, mais aujourd'hui, il a fini de frimer. On l'a retrouvé assassiné un jour. Il en est mort ! -- La classe américaine % Dave : Alors c'est le 19 94 0 18 13 24 32 49 26 24 40 4 16 70933 16-4 Euh... Peter : Ben, 16-4, ça fait douze. Dave : Attention, y a un piège là. -- La classe américaine % Humm, humm. Tiens regarde, ça c'est le numéro de Jacques, j'l'ai trouvé aux archives. Le numéro qu'il t'a filé Dave, c'est de la connerie. Il commence vraiment à me faire chier Dave. -- "Steven" (La classe américaine) % Vous êtes très gentil... euh attention : j'ai bien dit "gentil", j'ai pas dit "homosexuel", hein ! -- Steven, à Jacques (La classe américaine) % Absolument ! -- "Jacques" (La classe américaine) % Bref, en un mot comme en cent, nous nous mîmes en route promptement. -- "Jacques" (La classe américaine) % Ça va plus du tout. J'ai plus envie de boire, ni de manger... J'ai plus envie de me peigner. J'suis limite nervous breakdown... Wah ! Et puis merde ! J'ai même plus envie de me laver... -- "Dino" (La classe américaine) % Sheraf... Tu connais pas Sheraf ?! C'est un groupe, ils étaient number one. -- "Dino" (La classe américaine) % Regarde ! J'me suis niqué les mains, moi, avec cette saloperie de collec' de pin's à la con ! -- "Dino" (La classe américaine) % Rester en ville malgré les menaces de George, j'trouve ça drôlement courageux de la part d'un pédé comme vous ! -- La rousse, à Jacques (La classe américaine) % Où ça nous mène la folie des hommes ? On court tout droit à notre perte... -- "Hugues" (La classe américaine) % Hé les minables ! Y a pas que moi qui suis pédé, y en a un autre et il s'appelle Geooorge ! -- "Jacques" (La classe américaine) % Il devait être nerveux le George pour s'énerver comme ça. -- "Peter" (La classe américaine) % Arrêtez de dire ça ! Je ne suis pas gentil, c'est pas vrai ! Quand je m'énerve, je me mets dans des états dingues, je suis méconnaissable ! -- "Jacques" (La classe américaine) % Peter : J'peux vous poser une dernière question ? Jacques : Absolument. Peter : Voilà, à quoi vous pensez si j'vous dis : "monde de merde" ? Jacques : Au revoir. -- La classe américaine % Si je fais journaliste, c'est évidemment pour être célèbre, moi j'veux être connu, tu sais pourquoi ? Pour niquer les gonzesses ! -- "Steven" (La classe américaine) % À la ferme ta gueule, toi ducon ! Espèce de crétin ! Qu'est-ce que tu veux, nous prendre la tête, là ? Pauv' con ! -- "Dino", humiliant son ami devant Peter et Steven (La classe américaine) % Vous savez, j'arrivais d'Italie, de Turin. À l'époque, j'étais supporter de la Juventus... -- "Dino" (La classe américaine) % Nan, c'est à moi de les lever ! C'est moi qui décide, et puis d'ailleurs arrête de faire tout comme moi. Baisse les bras et prends ton flingue, au lieu d'être là à me copier ! (...) Putain, je m'suis mal démerdé ! Pourtant j'ai pas fait une concession ! -- "Frankie", à Dino (La classe américaine) % Désolé mais c'est moi qui te reconnais ! J't'ai vu le premier, toi tu m'as vu en deuxième. Vu ? -- "Frankie" (La classe américaine) % Mais j'suis pas super fort, j'suis mieux que ça, même : j'suis surpuissant ! -- "Frankie" (La classe américaine) % Bon, ben lui il va me prendre la tête. -- "Dino", à Frankie (La classe américaine) % Pour être tout à fait exact, je pense que t'es un ouf, toi ! Un ouf malade ! -- "Dino", à Frankie (La classe américaine) % Dino : De toute façon, ça sert à rien de discuter avec toi, t'as toujours raison. Frankie : Si ça sert de discuter ! C'est toi qui as toujours raison. -- La classe américaine % Qu'est-ce que j'apprends Frankie, espèce de malhonnête !? Il paraît que t'as des propos intolérables... où y a pas de tolérance !? -- "Jacques" (La classe américaine) % Enculé de ta race ! -- "Jacques" (La classe américaine) % J'adore les duels inoffensifs. Et maintenant casse-toi ! Et la prochaine fois, je m'occuperai de toi avec de vraies balles. Et ça chauffera pour ton cul, sale Français ! -- "Frankie" (La classe américaine) % George : Bah, j'suis même pas français, j'suis américain. Frankie : Non, t'es français, moi j'suis américain ! -- La classe américaine % Dino : Je veux pas dire, mais c'est un mec qui a vraiment plein de qualités. Peter : Mouaih moi j'me demande quand même s'il était pas un peu con. -- La classe américaine % Steven : Parlez-nous du contenu de cette lettre. Peter : Oui, s'il vous plaît, à moins que ce soit privé, et que vous ayez des principes. Dino : Mais c'est privé et j'ai des principes. Mais comme vous m'êtes sympathiques, j'vais vous raconter s'qu'y avait dans la lettre. -- La classe américaine % Si tu veux me parler, envoie-moi un... fax ! -- "George" (La classe américaine) % Aime-moi tendre, aime-moi vrai ! -- Le putain d'énergumène (La classe américaine) % Moi ce qu'j'vois c'est que dans deux secondes, j'vais te botter le cul ! -- "George" (La classe américaine) % Bon, écoute, tu peux faire ce que tu veux, mais évite de marcher sur mes chaussures en suédine bleue. -- "Le Putain d'énergumène" (La classe américaine) % Ne sois pas cruel. Un pour l'argent, deux pour le spectacle, et trois pour le caillou. -- "Le Putain d'énergumène" (La classe américaine) % En tout cas, s'il cherchait pour du trouble, il est venu à la bonne place. -- "George" (La classe américaine) % Tu peux m'dire ce qu'on fait dans ce flim, Bob ? -- La classe américaine % Oui je pourrais... mais d'abord, faut sucer ! -- "Bob" (La classe américaine) % M'emmerde pas avec tes histoires, j'te dis que j'ai mal au bide. J'ai la méga chiasse, putain, la méga chiasse ! -- "Peter", à Steven (La classe américaine) % Faut que j'aille chier, bordel ! Faut que j'aille chier, faut que j'aille chier, rapidos !! -- "Peter", à Steven (La classe américaine) % Bon, maintenant t'arrêtes ! Parce que j'te ferais dire que pendant qu'on parle, Peter il a la méga-chiasse ! Alors un peu de dignité s'te plaît ! -- "Steven" (La classe américaine) % Excusez-moi messieurs, heu... Peter il fait du boucan dans les water ! -- La secrétaire à lunettes (La classe américaine) % Ouahou... Steven ! Tu vas pas me croire, j'ai plus mal au bide, je suis guéri. Par contre, on ne peut plus rentrer dans les chiottes, y en a partout ! -- "Peter" (La classe américaine) % Steven : Patron ! Patron ! On a un problème, il faut qu'on vous parle. Patron : Du dossier Georges Abitbol ? Steven : Non, des chiottes, Peter les a bouchées. -- La classe américaine % Ça doit être les burgers. -- "Le Patron" (La classe américaine) % Steven : T'as tout compris ? Peter : Oui, mais mon téléphone il marche pas. -- La classe américaine % Tu parles espagnol ? Mais tu crois que tu m'impressionnes ? Moi je sais dire "Allons à la plage Monsieur Renard" : Vamos a la playa Senior Zorro ! -- "José" (La classe américaine) % La fromagerie en bas de chez moi, elle vendait trois choses : du fromage, des ouiches lorraines et de la bouffe chinoise. Alors toi mec, avec tes régimes à la con, tu m'fais bien marrer ! -- "José" (La classe américaine) % Humainement, il avait la classe. Moi j'préfèrerais avoir sa classe plutôt qu'avoir la mienne. Moi, j'suis un peu « just ». -- "José", parlant de George Abitbol (La classe américaine) % T'as devant toi le spécialiste de la ouiche lorraine. Le spécialiste des travers de porcs sel-poivre. À 23 ans j'ai gagné le concours du meilleur cuisinier asiatique en leur préparant... un méchoui. -- "José" (La classe américaine) % Abitbol... George Abitbol... Class, man ! Top of the Pop ! ...a disparu, poil au cul, au large du port de Valparéso. Ah, c'est beau... mais tout ça nous éloigne de George. (...) Angoisse, fausse angoisse ! J'ai plus de repères... pour l'instant ! Wah dou wah dou dou ! -- "Steven" (chantant) (La classe américaine) % Peter : J'aime pas comme tu conduis, j'sais pas j'ai pas confiance. Dave : Tais-toi, tu m'empêches de me concentrer. -- La classe américaine % Ah ça c'est à peine croyable ! J'me trouve une panoplie super bien... une chemise dont je suis hyper fier ! Et voilà comment on le félicite, le Dave ! -- "Dave" (La classe américaine) % Frédéric : Alors une : je m'en souviens pas, deux : je n'suis pas resté longtemps et enfin cinq : y a pas de cinq. Peter : Très bien, puisque vous ne voulez pas m'aider, allez vous faire enculer. -- La classe américaine % Alors les bouseux ? Qui va me parler de George, qui c'est qui va tout dire à Dave ? Bon, toi tu dis rien, c'est normal t'es une croix en bois, t'as qu'à te taire. -- "Dave" (La classe américaine) % Mon cher Peter, me voilà dans le désert. J'ai un nouvel ami, il me suit partout mais il est un peu con... Tu me diras, il a cinq ans... -- "Steven" (La classe américaine) % Moi j'pense qu'il avait pas plus de classe que de beurre au cul ! J'ai jamais compris comment il a eu le titre... -- "Jacqueline" (La classe américaine) % Entre, fouille-merde ! Je vais t'en filer, moi, du biscuit sur George pour ta feuille de choux ! Ça va fuser les potins, les ragots. C'est ma profession, moi, de témoigner, mes témoignages c'est pas d'la daube ! -- Le témoin professionnel, à Steven (La classe américaine) % Le journalisme total, c'est totalement con ! -- "Peter" (La classe américaine) % Monsieur ! Vous savez parler avec l'accent canadien ? Vous savez parler comme ça, en plissant le visage ? Ç'a l'air facile, en fait c'est pas évident... -- "Ernest" (La classe américaine) % Écoute, j'ai un truc à te proposer, vachement bien... super balaise. On serait tous les deux complètement irresponsables payés par la CIA avec un hélicoptère. Un super hélicoptère, qu'on a intelligemment appelé... Supercopter ! -- "Ernest", au fan d'hélicoptère (La classe américaine) % C'est ça, la puissance intellectuelle. Bac + 2, les enfants. -- "George" (La classe américaine) % Alors je vais te dire une chose : y a de la boue, qu'il vaut mieux pas la remuer ! -- Le videur, à Dave (La classe américaine) % Purée... Hahaha, ça j'aime ! Haha... Vous arrivez, vous êtes même pas chez vous, vous vous pointez avec trois quarts d'heure de retard, pas bonjour pas merci, vous filez tout droit au frigo, vous prenez la dernière bière... Haha ! Vous, vous êtes un sacré sans-gêne ! -- "Pr Hammond", à Steven (La classe américaine) % Je déteste les animaux préhistoriques partouzeurs de droite, bordel ! C'est de la merde de mélanger comme ça partouze et politique, c'est mieux de faire les choses dans l'ordre ! -- "Pr Hammond" (La classe américaine) % Va te faire branler ! Trotskard ! -- "George" (La classe américaine) % Mon mari est absent, vous voulez voir mes fesses ? Et ensuite, je vous roulerai une pelle... -- "Christelle", à Peter (La classe américaine) % George finit par se lasser de moi, alors il est parti avec une Québécoise... une belle p'tite salope ! -- "Christelle" (La classe américaine) % Dave : J'me suis fait avoiner. J'me suis fait casser la gueule (...), mais j'ai rien dit du tout. J'ai pas dit où en était l'enquête, malgré la douleur. Peter : Encore heureux que t'as pas dit où en était l'enquête, parce que vu qu'on est au point zéro, si tu l'avais dit, on passait pour des busards. -- "Dave" & "Peter" (La classe américaine) % C'est ça, c'est à n'y rien comprendre, même en y réfléchissant bien ! -- "Dave" (La classe américaine) % "Sexe" + "histoire de cul" = "meurtre" -- "Peter" (La classe américaine) % Bien joué Peter, l'enquête touche à sa fin ! On va devenir célèbres. On va bientôt niquer, on va bientôt niquer ! -- "Steven" (La classe américaine) % Kesskeucé !? Des voitures dans les parkings maintenant... -- "Gorge Profonde" (La classe américaine) % Je te connais pas, j'ai rien contre toi, mais faut que je tape sur quelqu'un. C'est pas de bol pour toi, sinon je garde tout en dedans et c'est pas bon. Alors tiens ! Le prends pas mal, mais... tiens ! -- "George" (La classe américaine) % Alors, on peut plus chier tranquille ? -- "George" (La classe américaine) % Mais oui, j'suis un bab ! Et alors ? Ça te défrise, vieux réac' ? Parce que j'ai les cheveux longs, tu flippes pour ton confort bourgeois ? T'as un mauvais karma, frère, si tu supportes pas mes cheveux ! Désolé papy, mais j'ai ma liberté d'expression capillaire ! -- "Gael", à George (La classe américaine) % Tu nous fais ta crise, ta p'tite parano ? (...) Eh ! Et toi ! Ton tuyau, t'as qu'à t'le mettre dans l'cul ! -- "Stumpy", à Huggy (La classe américaine) % D'accord. Mais seulement pour du fric. Ça te coûtera trente francs. (...) Payables en deux fois ! Quinze francs avant, et quinze francs après. -- "Huggy" (La classe américaine) % Si je comprends bien, on s'est tapés une enquête super dure, alors que si on vous avait rencontrée avant, on aurait pu niquer tout de suite, sans même être célèbres... -- "Steven", à Melle Soso (La classe américaine) % Alors que moi, pendant ce temps-là, j'me la suis donnée grave ! -- "Melle" Soso (La classe américaine) % Je suis majeur et je fais ce que j'ai envie de faire avec mon p'tit corps ! -- "George" (La classe américaine) % Tu te réveilles à 35 ans pour te demander ce que ça veut dire "Monde de merde" ? c'est pas que t'es indiscret... c'est juste que t'es un con ! -- "George", à Dave (La classe américaine) % Dave : Merci, m'sieur Abitbol, vous m'avez ouvert les yeux George : Ah r'garde plutôt la route -- "George" & "Dave" (La classe américaine) % Ouais, moi aussi j'ai bien envie de le dire ; monde de merde ! -- "Dave" (La classe américaine) % J'vous appelle juste pour vous dire que j'suis dans une cabine. -- Le petit détournement % Eh vieux ! T'as bien précisé que c'était une cabine téléphonique ? -- Le petit détournement %